Actionnariat salarié : un engagement renforcé dans l’aventure L’Oréal
L’Oréal a proposé à ses collaborateurs de s’associer au capital financier de l’entreprise, via un plan d’actionnariat salarié. Une première dans l’histoire du Groupe, qui a conquis les collaborateurs.
Premier plan d’actionnariat pour les collaborateurs
Lancé en juin 2018, le plan d’actionnariat salarié offrait la possibilité à tous les collaborateurs qui le souhaitaient d’acheter des actions L’Oréal. Une nouvelle initiative de partage de la croissance visant à associer et fédérer les collaborateurs autour de la stratégie du Groupe, à encourager leur culture actionnariale tout en renforçant leur sentiment d’appartenance. Parmi les 35 % de collaborateurs ayant souscrit au plan, Chloé Goirand, chef de projet en marketing au sein de Giorgio Armani, se réjouit de l’opportunité qui lui a été offerte :
Chloé Goirand
chef de projet en marketing, Giorgio Armani
« J’ai trouvé l’initiative très forte, positive et généreuse, en ligne avec la façon dont L’Oréal nous associe à sa réussite. Il m’a paru assez naturel et évident d’acheter des actions et de profiter de cette opportunité financière, et cela a renforcé aussi ma confiance dans la performance future du Groupe, dans laquelle je suis désormais encore un peu plus impliquée ! »
Un écosystème complet en matière de politique sociale
Ce plan a valu au Groupe de recevoir le Grand Prix CAC All Tradable de la FAS (Fédération française des associations d’actionnaires salariés et anciens salariés) pour « sa remarquable entrée dans l’actionnariat salarié en France et à l’étranger et sa bonne gouvernance internationale ». Il vient compléter d’autres dispositifs en place depuis de nombreuses années, comme l’intéressement et la participation ou le programme de protection sociale L’Oréal Share & Care , qui garantit mondialement des minima sociaux à l’ensemble des collaborateurs. Cette politique sociale ambitieuse est une des composantes de L’Oréal dont le succès repose sur un collectif fort, un environnement protecteur et un partage des fruits de la croissance.
